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Le frère de mon mari m'a baisée

Ecrit par lailatvx
Parue le 13 novembre 2012
Il y a 9 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 98037 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.6154/20

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*Le frère de mon mari m’a baisée ! … oui ! Baisée, par surprise.
C’était un viol. Oui, au début … enfin … au tout début …

C’était un viol puisque je ne le voulais pas !

Mais comment peut-on condamner, dénoncer quelqu’un qui vous a donné autant de plaisir !
En prison ?! … Bertrand ?! …

Deux mois de cela et je veux qu’il me touche à nouveau …

Je préparais ma maison à la venue du correspondant anglais de mon fils aîné.
Il fallait faire vite, … un peu à la bourre, aspirateur dans toutes les chambres, ranger tout ce qui traîne, s’occuper du linge, donner un coup de frais à la salle d’eau, y placer des serviettes et gants de toilette propres, … je ne m’étais pas ménagée, j’étais en sueur et avais décidé de finir par la salle d’eau afin de profiter de la douche une fois le travail terminé…

Seulement mon mari a un frère, …plus jeune, Bertrand.
C’est un beau garçon sur qui j’ai parfois fantasmé, il faut bien l’avouer, un garçon solide et bien fait. Un homme, un athlète, musclé de partout, énergique et à l’allure déterminée.
Pas forcement très chaleureux au premier abord… mais … séduisant, ça oui … le mec qui aimante les regards féminins, qui vous asticote, vous provoque tout aussi facilement qu’il vous charme, vous apprivoise et vous amadoue…

Ce joli cœur est mon beau-frère, donc on n’y touche pas …!

J’aurais dû reconnaître son parfum quand il est entré dans la salle de bain… mais trop occupée à essayer de récurer le receveur de la douche, frottant comme une dingue, en sous tif et culotte.
Le bruit du jet d’eau que j’avais laissé couler pour m’aider dans ma rude besogne et qui permettait de dissiper les odeurs d’ammoniac, avait sans doute couvert le son de la sonnette.

Bertrand s’était permis d’entrer, il n’y avait rien à redire à cela.

Mais il était allé chercher âme qui vive, jusqu’au fond de la maison, et ce que ses yeux d’homme, dans la fleur de l’âge avait découvert, en ouvrant la porte de la salle de bain, avait dû foudroyer son hypothalamus … je ne vois que ça ! …

Moi, à quatre pattes, le corps à demi engagé dans la douche, les seins bringuebalants dans un délicieux soutien gorge bleu et blanc, le reste du corps à porté de mains ... un joli postérieur, une chatte offerte que condamnait un frêle liseron de soie blanche, dissimulant maladroitement des renflements de chair roses, …il a eu envie … envie de mon sexe !
Dans cette ambiance moite, cette humidité qui pénétrait les chairs, cette douce chaleur parfumée mêlées de produits pour le corps autant que de productions corporelles, il n’a pu résister bien longtemps, … la chair est faible et l’homme davantage encore …

Certes, je le concède aisément, mes effort ménagers m’avaient sans doute rendu humide, moite, à l’extérieur comme à l’intérieur et je comprenais maintenant avec quelle facilité le membre de Bertrand m’avait possédée !
En y repensant, je crois bien avoir entendu un ceinturon se défaire, un tissu tomber sur le carrelage … peut-être même avoir flairé une odeur agréable qui ne m’était pas inconnue …puis ce fut l’attaque ...d’une rapidité saisissante… j’ai eu peur, j’ai crié, sursauté, envisagé un instant, qu’une bonne blague m’était faite… tout cela presque en même temps.

Je l’ai reconnu, …dans les reflets bruineux des carreaux blancs de la douche.
-Ah c’est toi ? Excuse-moi … mais qu’est-ce que tu f …
Déjà mes hanches ne m’appartenaient plus, ses deux mains m’ont ouvert les fesses … et Bertrand m’a pénétrée, je n’ai eu le temps … pas eu le temps de combattre, de lui interdire mon intimité !

Son sexe était prêt, je ne l’ai qu’entraperçu, raide, impérieux, avant qu’il s’engouffre en moi … et le plaisir fût aussi violent qu’instantané ! Coincée entre la porte coulissante et la paroi de la douche, je n’ai pu … ou n’ai voulu me débattre, et dans mon dos, Bertrand s’est animé, son sexe est devenu fou … 1 minute 30 de furie, de grognements, de gloussements, …du bruit des corps qui s’entrechoquent, fessier contre pubis, de petits cris stridents que je n’aurais jamais imaginé pouvoir sortir de la bouche d’un homme !

Et cette bite ! Oh oui, cette belle bite qui me sonde, qui m’explore et qui frappe au fond de mon vagin…
Très vite, le plaisir est venu, mon vagin s’est inondé, le frère de mon mari était en moi et j’avais décidé de profiter de ce mâle surexcité, pleinement, de ce Bertrand qui bien souvent me faisait face lors des repas de famille, mais dont les liens de parenté m’interdisaient le moindre batifolage, le plus petit espoir, je me satisfaisais, frustrée de ses sourires câlins.

Désormais, il modelait mon vagin de sa queue vigoureuse et épaisse et chacun de ses va-et-vient appuyés me faisait chavirer, Il faisait chanter mon antre, désormais gorgée de ce nectar que les femmes abandonnent au creux de leur ventre chaque fois que l’amour est bon et que le plaisir est au rendez vous. Un chant entêtant, comme un clapotis, un gargouillis qui se faisait entendre à chaque coup de rein que Bertrand m’offrait. Je ne m’étais jusqu’alors, jamais entendu crier pendant l’acte d’amour, jamais un homme n’avait réussi cet exploit mais Bertrand avait le sexe généreux … j’ai grincé, couiné, crissé, puis rallé, gueulé, hurlé, terrassée par le plaisir à en perdre la raison, aux ordres de son sexe !

…Bien avant Bertrand,… le plaisir m’a foudroyé … j’ai joui ! …tentée de dompter les contractions de mon sexe, irradié par l’orgasme, comme pour tempérer le frisson, la passion, la faute, et le sentiment d’adultère qui naît au moment même où la jouissance est la plus forte, où votre corps vous force à ouvrir toutes les vannes du plaisir. Oh que oui, à ce moment précis, j’ai compris que j’offrais à vie le statut de cocu à l’homme qui partageait ma vie,… un sentiment de douce culpabilité s’emparait de moi, en même temps que le bonheur me rassasiait ! Comment pouvait-on baiser si bien ?

Bertrand s’est arrêté un instant, surpris par les convulsions de mon vagin puis s’est très vite remis à l’ouvrage … encore quelques secondes, agrippant mes hanches, les yeux rivés sur mon minou trempé, mon anus dilaté, victime collatérale de l’orgasme qui s’est invité dans mes entrailles, il s’abandonne dans ma chair, Bertrand !

Il me secoua, encore, … de longues secondes… sans ménagement… jusqu’à ce que le bonheur le prenne enfin, lui aussi …

Le silence se fait …les corps se calment … il est encore en moi, de quelle façon réagir, se mutiner, hurler, attendre ?

Je risque quelque chose …

« -Bertrand ? … tu m’as violée ! » …

« -Non ! … oui, je sais ! … tu es trop bonne … je t’ai vu … je n’ai pas pu … j’ai eu envie de toi … je te désire depuis des années, depuis tellement longtemps …trop de charme, trop de … tu es canon, je… je t’aime …»
Je sens son sexe qui se détend, puis se laisse expulser de ma chambre d’amour …je garde au chaud la preuve de son forfait, je me sens comblée, flattée, émue, j’ai les jambes en compote, même si je le voulais, je ne pourrais fuir …

Il attend … la sentence … les reproches … le drame …

« - Bertrand ………. C’était bon … j’ai joui … très fort … on ne dira rien … à personne ! »
« - Je suis fou de toi ! »
« - Je l’ai bien senti !... rhabille-toi, vite !»

« - A dimanche !… la bise à mon frère …prends soin de lui ! »
« - Oui … »
« Je viendrai te voir … souvent … »
« - Bertrand ! Chut !... Sauve-toi maintenant ! »

Une clef s’active dans la serrure de la porte d’entrée …





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